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Pollution air intérieur et cancer
Nous passons en moyenne 80 % de notre temps dans des espaces clos, qu’ils soient des lieux publics ou des espaces privés. L’air intérieur est 8 fois plus pollué que l’air extérieur.  De ce fait le fait d’aérer une pièce est loin de solutionner le problème. La pollution de l’air intérieur est un problème invisible qui peut avoir des conséquences graves sur la santé. Elle peut provoquer des problèmes respiratoires, des maladies cardiaques et même le cancer.

Les principaux polluants de l’air intérieur

Les principaux polluants de l’air intérieur sont les suivants :
  • Les particules fines (PM), qui sont des particules de taille inférieure à 10 micromètres (PM10) ou 2,5 micromètres (PM2,5). Elles sont produites par la combustion à l’intérieur (chauffage, encens, tabac…) ou provenir de la pollution extérieure
  • Les composés organiques volatils (COV), qui sont des substances chimiques qui se volatilisent à température ambiante. Ils sont produits par les produits de nettoyage, les peintures, les vernis, les produits d’entretien ménager, etc. Dans des analyses d’air intérieur effectuées par Que Choisir, 100 % des locaux en contenaient, dont 78 % à plus de 10 µg/m3
  • L’ozone (O3), qui est un gaz produit par la réaction chimique entre les oxydes d’azote et les COV en présence de lumière.
  • Le radon, qui est un gaz radioactif naturellement présent dans le sol. Inoffensif à l’air libre, il peut s’infiltrer dans les habitations. Son accumulation dans une pièce close et mal ventilée, en quantité suffisante pour avoir des effets néfastes sur la santé à long terme.

Les liens entre la pollution de l’air intérieur et le cancer

Les études scientifiques ont montré un lien entre l’exposition à la pollution de l’air intérieur et un risque accru de cancer, notamment de cancer du poumon, de cancer de la vessie et de cancer du nasopharynx.

Cancer du poumon

La pollution de l’air est le deuxième facteur de risque de cancer du poumon, après le tabagisme. Elle est responsable d’environ 9 % des cas de cancer du poumon en Europe. Une étude publiée en 2021 par l’Agence européenne pour l’environnement (EEA) a montré qu’une exposition aux particules fines (PM2,5) de 10 microgrammes par mètre cube (µg/m3) pendant 24 heures augmentait le risque de cancer du poumon de 12 %.

Cancer de la vessie

La pollution de l’air est également un facteur de risque de cancer de la vessie. Une étude publiée en 2019 par l’Institut national du cancer (INCA) a montré qu’une exposition aux particules fines (PM2,5) de 10 µg/m3 pendant 24 heures augmentait le risque de cancer de la vessie de 10 %.

Cancer du nasopharynx

La pollution de l’air est également un facteur de risque de cancer du nasophar/ynx, qui est un cancer de la tête et du cou. Une étude publiée en 2022 par l’INCA a montré qu’une exposition aux particules fines (PM2,5) de 10 µg/m3 pendant 24 heures augmentait le risque de cancer du nasopharynx de 15 %.

Comment réduire son exposition à la pollution de l’air intérieur ?

Il existe plusieurs mesures pour réduire son exposition à la pollution de l’air intérieur :
  • Aérer régulièrement son logement, en particulier le matin et le soir.
  • Utiliser des appareils de chauffage et de cuisson à combustion propre.
  • Entretenir régulièrement sa cheminée ou son poêle à bois.
  • Choisir des produits d’entretien ménager et des produits de construction non polluants.
  • Utiliser un purificateur d’air
On comprend rapidement les limites de la majorité des mesures qui peuvent être prises. Aérer régulièrement est assez contraignant. L’air extérieur étant encore plus pollué que l’air intérieur cela limite l’efficacité de cette mesure. La déperdition ou l’entrée de chaleur sont aussi un problème que cela soit en été ou en hiver. Cela engendre un cout financier. Pendant les périodes propices aux allergies liées aux notamment aux pollens de graminées, aérer peut devenir problématique. Toutes ces contraintes font qu’aérer n’est pas efficace et ne remplace pas un traitement de l’air avec un purificateur. L’entretien régulier de sa cheminé ou de sa poêle à bois est possible mais n’empêche pas que la pollution qu’elles émettent continue malgré tout. Un traitement de l’air reste donc nécessaire. Quand aux produits d’entretien ménager non polluants ils ne sont pas faciles à trouver et leur usage est encore rare. De plus même si vous adoptez cette démarche à votre domicile, il y a peu de chances que cela soit également le cas dans d’autres lieux fermés où vous passez beaucoup de temps tels que votre travail ou l’école dans le cas des enfants. L’utilisation d’un purificateur d’air reste donc indispensable pour bénéficier d’un air pur et sain. Un purificateur d’air haute performance à un niveau d’efficacité contre tous les polluants proche de 100 %. Pour atteindre ces résultats, il faut un appareil capable de fonctionner en continu même en présence humaine mais surtout qui utilise des technologies de pointes. La plupart des purificateurs se contentent de filtrer et stocker. Le polluant est donc emprisonné mais reste présent. Avec sa combinaison unique de 4 technologies connues et éprouvées notre purificateur d’air Mylos va plus loin. Il est capable de traiter et de définitivement supprimer plus de 99,99 % des virus, bactéries, COV’s… Pour en savoir plus sur les composés organiques volatils (COV) et la cancérogénicité : https://www.cancer-environnement.fr/fiches/expositions-environnementales/composes-organiques-volatils-dans-lair/